Comme beaucoup, lorsque je regarde les projets sur Kickstarter, j’ai du rêve dans les yeux. Je me dis que j’aimerais être dans les premiers à posséder tel ou tel objet (surtout quand ca touche à la technologie). Qu’en plus, comparé à ceux qu’on trouve sur le marché, ils ne sont pas chers. Mais pour l’instant, je n’ai jamais sortie ma carte de crédit (car j’avais toujours un doute au fond de moi).
Pour lever ce doute, je vous conseille d’aller voir ce site: http://www.michelnizon.com/ . Cet ancien entrepreneur français a décidé de créer un forum sur les différents projets de financement participatifs afin de séparer le bon grain de l’ivraie.
Terminé les belles paroles, maintenant, grâce à ses méthodes, je peux enfin sortir le chèquier sans stress :-). Voici une liste de principes à appliquer pour que vous aussi, vous puissiez déterminer le niveau de bullshit d’un projet:
- Est ce que le projet vous semble réaliste ? (les connaissances actuelles sur le sujet sont-elles proches)
- Y a til un prototype existant que des journalistes ont pu essayé ?
- Y a til des sources ? Peut on identifier facilement les auteurs ? Les liens sont ils valides ?
- Les dates de livraison sont-elles réalistes ?
Si vous participez à un projet, Kickstarter (ou autres plateformes) empochera sa participation (que le projet aille ou pas jusqu’à la livraison) – souvent entre 10 et 20% de la somme récoltée. A ce tarif là, on se doute qu’il n’aime pas trop entendre les voies négatives. Pour cette raison, les commentaires sur Kickstarter sont fermés aux personnes qui n’ont pas déjà donné. Autant dire: merci de ne pas avertir les futurs investisseurs qu’il s’agit d’un projet « poudre aux yeux »; on veut quand même notre argent !
S’ils vous restent quelque doute sur un projet, n’hésitez pas à en parler à Michel, il vous aidera et publiera surement un article sur le projet qui vous pose un cas de conscience.
Consultez et partagez son site: http://www.michelnizon.com/. Celui-ci fourmille d’informations pertinentes et vous expliquera comment certains entrepreneurs passent de la demande d’argent au racket, ou comment d’autres dilapident le tout en seulement quelque mois…
Bref: un vrai job utile à la communauté.
Merci .